AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 # STEFAN J. MCFIRE

Aller en bas 
AuteurMessage
Stefan McFire
Admin - Crapule des bois
Stefan McFire


Messages : 210
Date d'inscription : 27/05/2012
Nationalité : Américain
Emploi : Infirmier
Devise : "Le bonheur, c'est d'avoir quelqu'un à perdre"

Feuille de personnage
Relations:

# STEFAN J. MCFIRE Empty
MessageSujet: # STEFAN J. MCFIRE   # STEFAN J. MCFIRE EmptyJeu 7 Juin - 16:04

# STEFAN J. MCFIRE Bann2l
Stefan Julien McFire Ft. Jude Law
White City, Américain - Infirmier - 30 ans - 16 Avril 1982 - Humain

¤ Êtes-vous hanté ? : Après trente années, on peut dire que Stefan touche du bois. Il espère ne jamais avoir à faire à l'un des démons de son passé. Il faut dire aussi qu'il a tellement traîné dans des endroits peu fréquentables que n'importe qui pourrait ressurgir de son passé, et jusqu'à preuve du contraire, il n'a besoin de personne pour vivre un enfer. Il redoute la mort de son père plus que tout ; il a peur que celui-ci décide de venir hanter sa mère ou sa petite soeur, et il ne pourrait alors plus rien faire pour les protéger.
¤ Que pensez-vous des fantômes de manière générale ? : Curieux de nature, l'infirmier aimerait beaucoup comprendre tous les processus qui permettent aux fantômes d'utiliser leur pouvoir sur les humains, ou pourquoi on ne peut définitivement pas les voir. Il espère un jour obtenir des réponses à toutes ses questions. Néanmoins, l'idée qu'il puisse partager son appartement avec plusieurs spectres lui glace le sang ; il évite de trop y penser par peur de devenir complètement dingue. Quoi qu'il en soit, Stefan n'a franchement pas hâte de mourir pour hanter qui que ce soit ; il y aurait beaucoup trop de choses (ou de substances) qui lui manquerait.


¤ Caractère et goûts : Stefan est quelqu’un d’assez indépendant. Très tôt, il a été amené à se débrouiller seul et il est rapidement devenu l’homme de toutes les situations. Même si la présence des autres est toujours nécessaire pour pouvoir évoluer, il n’a pas besoin qu’on s’occupe de lui ni qu’on le couve. Au contraire, il préfère jouer le rôle rassurant de l’homme fort et protecteur, et il le fait souvent à merveille. Il est capable du meilleur comme du pire pour s’assurer que ses proches sont bien au chaud, à l’abri sous son aile ; au point parfois d’être quelque peu étouffant. Ce n’est pas de sa faute, il ne se rend pas vraiment compte. Ainsi, vous pouvez l’appeler en plein milieu de la nuit, vous serez sûr qu’il débarquera dans les minutes qui suivent pour vous prêter main forte ou vous tendre son épaule. C’est un ami très loyal, à l’écoute et attentionné sur lequel vous pourrez toujours compter, quelques soient les situations, mais ne vous attendez surtout pas à ce qu’il se confie en retour car il ne supporte pas ça ; il a alors l’impression de se rabaisser lui-même et a toujours peur qu’on profite de sa faiblesse ponctuelle pour lui faire avouer tout un tas de choses. C’est certain, vous ne pourrez jamais lui faire dire que quelque chose ne va pas et rares sont ceux qui arrivent à déceler son malheur à travers un regard.
Le jeune homme n’est pas muet pour autant, bien au contraire. Il aime passer son temps à papoter à la terrasse d’un café, que ce soit pour critiquer le dernier film sorti au cinéma ou rire de la tenue de certains passants. Très taquin, il aime se moquer affectueusement de son entourage. Il possède également beaucoup d’humour et d’auto-dérision ; autrement dit, il faut vraiment le vouloir pour réussir à le vexer. Stefan est aussi ouvert d’esprit et participe volontiers à quelques débats d’ordre politique ou sociale, en n'oubliant pas de donner son point de vue et de le faire entendre. Respectueux, il ne lui est encore jamais arrivé de juger qui que ce soit ; et puis de toute manière, on ne peut pas non plus dire qu’il soit bien placé pour le faire.
Pas très sportif, Stefan fait le stricte minimum pour garder la forme et rester suffisamment appétissant pour que la gente masculine vienne à lui naturellement. Il évite bien souvent de se laisser aller, même s’il est parfois difficile de se retenir devant une bonne tarte aux fraises, son dessert préféré.
Impulsif, Stefan fonctionne sur des coups de têtes : il prend rarement le temps de réfléchir et d’envisager toutes les conséquences que ses actes pourraient entraîner. Il s’est parfois lui-même déçu à cause de cela et à l’heure actuelle il essaie tant bien que mal de laisser murir ses décisions. Paradoxalement, il procrastine, comme tout le monde.
En amour, Stefan est plutôt jaloux : il ne supporte pas que sa moitié devienne trop proche de quelqu’un d’autre, ce qui peut être compréhensible. Cette jalousie ne l’a pourtant jamais poussé à lire les messages ou à fouiller dans les affaires de la personne qui partageait sa vie. Bon, presque jamais...
Aussi, Stefan ne peut pas passer une journée sans ses guitares. Il en possède déjà trois et il les bichonne sans arrêt. Il ne serait certainement pas devenu le jeune homme qu’il est aujourd’hui s’il n’avait pas eu la possibilité de s’échapper à travers la musique. Il leur a même trouvé de jolis petits noms : Velvet July, Kay et Lady Of The Flowers. Oui, il leur parle aussi. Et elles lui répondent.
Enfin, le jeune homme a une peur bleue des méduses ; n’essayez même pas de glisser une photo de la chose dans son champ de vision, il prendrait alors ses jambes à son cou en poussant des petits cris de fillette...


¤ Histoire :
A KING WITH NO CROWN

« C’est moche comme prénom. »

Jack McFire se tenait là, aux côtés de Charlotte, sa femme. Elle était allongée sur un lit d’hôpital et de grosses perles de sueur roulaient doucement sur ses tempes. Elle tenait leur enfant dans ses bras, son petit monde, la chair de sa chair qu’elle avait portée pendant neuf mois, son petit prince. D’origine française, elle avait toujours rêvé d’un petit Julien. Mais Julien...

« C’est vraiment trop moche comme prénom ! Ca m’étonne pas d’toi et d’tes goûts de chiottes... Ce sera Stefan. C’est déjà plus virile. Voilà, Stefan. Ca, c’est bien. »

Jack en avait décidé ainsi. Elle avait appris, après tant d’années passées aux côtés de son époux, qu’il ne valait mieux pas le contrarier. Et puis, après tout, il ne se rendait pas compte puisqu'il était encore bien trop soûl pour réaliser ce qui venait de se produire, et elle l’en excusait. Avec un peu de chance, il ne se souviendrait même pas de cette petite «discussion». Ainsi naquit Stefan Julien McFire.

------------------------------
LITTLE MISS SUNSHINE

Stefan avait tout juste cinq ans. Fils unique jusqu’à présent, il était choyé et chéri par sa mère, adoré de ses grands-parents. Son père était rarement présent et le petit garçon avait bien vite compris qu’il ne fallait pas trop traîner dans son champ de vision quand il était de retour à la maison... Il devenait violent et même si Stefan ne comprenait pas tout, il voyait bien que quelque chose ne tournait pas rond. Souvent, il allait rejoindre sa mère dans sa chambre lorsque celle-ci était en pleurs et il la consolait.

Ainsi, cinq ans après la naissance de Stefan, Charlotte mit au monde une petite fille qu’elle prénomma Lily puisqu’elle était belle comme une fleur. Stefan était penché au-dessus du berceau, les yeux pétillants et des rêves plein la tête.

« On l'emmènera pique-niquer avec nous maman? »
« Oui, mon chéri. »

Stefan trépignait. Une petite soeur. Il pourrait lui montrer comment faire des cabanes dans les arbres, ils apprendraient ensemble à faire du vélo, ils iraient au cinéma de temps en temps. Peut-être même qu’un jour ils retourneraient à la plage avec la petite, qui sait ? Le petit garçon était intenable, ravi à l’idée d’avoir une petite soeur avec qui il pourrait essayer les jupes de Charlotte, ou qu’il s'amuserait à maquiller ! Charlotte souriait jusqu’aux oreilles, heureuse comme elle l’avait rarement été.

« De toute façon, elle finira comme sa mère... Une bonne à rien! »

Jack avait parlé. Charlotte baissa la tête et Stefan cessa de s’agiter. Il s’assit à côté de sa maman et regarda son père, affalé dans un fauteuil dans un coin de la chambre, ivre.

« Pourquoi tu es méchant? »

Pour la première fois, Stefan avait osé répondre. Ce n’était pas de la provocation, mais il essayait simplement de comprendre. Jack s’était aussitôt levé avant de hurler quelque chose comme « Je vais te montrer un truc méchant! ». Mais il fut interrompu par une sage-femme qui venait de faire irruption dans la pièce et qui l’empêcha d’accomplir sa besogne. Ainsi naquit Lily McFire, la petite fleur de la famille, le rayon de soleil de Stefan qui voyait en elle l’espoir d’une vie meilleure.

------------------------------
NINE ONE ONE

« File dans ta chambre Lily, tu m’entends? »

La jeune fille regardait son frère aîné avec de grands yeux larmoyants. Tout était allé très vite. Elle ne comprenait pas trop ce qui était en train de se produire mais elle savait simplement qu’il fallait qu’elle écoute son grand-frère. Elle acquiesça d’un signe de tête, la gorge nouée. Âgé d’à peine 15 ans, Stefan avait appris à s’occuper seul de sa petite soeur, non pas que cela lui déplaise particulièrement. Il aurait simplement aimé pouvoir lui épargner ce genre de scènes atroces où leurs parents se déchiraient devant eux. Il aurait aimé avoir ce pouvoir-là, n’importe quoi qui puisse protéger Lily de la violence de ce monde pour toujours.

« Tu ne sors pas de ta chambre avant que je vienne te chercher, d’accord Lily? File! »

Sa soeur disparut rapidement au fond du couloir et il entendit la clé tourner rapidement dans la serrure. C’était déjà ça, Lily était en sécurité. Il fallait maintenant que Stefan se dirige vers l’entrée sans trop se faire remarquer par son père. Il ne savait pas vraiment ce qui se passait par là-bas, mais il préférait ne pas le savoir. Les poings serrés, le coeur du jeune homme cognait tellement fort dans sa poitrine qu’il avait l’impression que ses côtes allaient se briser en mille morceaux... Discrètement, il passa devant la porte de la cuisine, croisant les doigts dans son dos pour que son père ne se tourne pas vers lui au moment précis où il serait visible dans l’encadrement de la porte. Trop tard.

« Qu’est-ce que tu fous là toi?! »
« Je... Euh. J’ai besoin du téléphone. »
« Pourquoi faire?! »

Jack ne savait pas s’exprimer autrement qu’en aboyant. Stefan aperçut sa mère devant l’évier. Elle était de dos mais le jeune homme savait pertinemment ce qu’il s’était passé... Et une fois de plus, il était impuissant. Mais plus pour très longtemps.

« Il faut que j’appelle un copain, j’ai oublié de noter les devoirs de maths... »
« INCAPABLE ! »

Jack claqua la porte. Ainsi, Stefan ne pouvait plus être vu. Il inspira un grand coup histoire de constater qu’il s’en était bien sorti vivant. Ni une, ni deux, il se rua dans l’entrée pour attraper le téléphone et repartit aussitôt vers la chambre de sa petite soeur. Une fois enfermé à l’intérieur de celle-ci en compagnie de Lily, il composa les trois chiffres qui pourraient bien mettre fin au puissant règne de Jack McFire et faire retrouver un semblant de vie au reste de la famille.

« Bonsoir monsieur, nous avons besoin de votre aide... »

Il était assis sur le lit de sa soeur, tandis que Lily était blottie tout contre lui, les yeux rouges et le nez plein... Ils restèrent ainsi jusqu’à ce qu’on vienne leur porter main forte, à écouter ce qui se passait non loin d’eux. Une heure plus tard environ, Charlotte toqua à la porte.

« Il est parti, vous pouvez ouvrir... Ils l’ont emmené. »

En un instant, tout changea. L'atmosphère semblait moins lourde et les esprits s'apaisaient déjà. Stefan se souvient de la grande inspiration qu'il prit après le départ de Jack. Il eut la sensation que c'était la première de toute, comme s'il venait seulement de naître.

------------------------------
THE EDGE OF GLORY

Le temps avait emporté ce qu’il restait de tristesse chez les McFire et avait eut raison de Jack ; il croupissait maintenant quelque part. Sa mère était belle, sa petite soeur grandissait lentement mais dangereusement et Stefan était devenu l’homme de la famille. Il en était d’ailleurs très fier. Les progrès qu’il avait fait au lycée durant les deux dernières années étaient prodigieux. Ses professeurs en était très contents, même s'il avait encore les capacités de faire mieux s’il se concentrait un peu plus pendant les heures de cours. Oui mais voilà : comment se concentrer en classe quand on est assis à côté de son meilleur ami, Andrew. Ils faisaient souvent les quatre cent coups et se retrouvaient tous les week-ends lors de soirées complètement déjantées qu’ils organisaient. Et puis surtout, il y avait quelque chose chez Andrew qui intriguait particulièrement Stefan. Il avait ce charisme, cette manière de pouvoir se foutre de tout et de tout le monde, ce petit rien qui émerveillait le jeune McFire. Il l’admirait, tout simplement. Il aimait en lui tout ce qu’il ne pourrait jamais être. Parfois, Stefan se surprenait lui-même à vouloir passer sa main dans les cheveux d'Andrew... C’était comme manger un nuage, se mettre à voler ou devenir un énorme chamallow.

Retrouve-moi derrière le gymnase à la fin des cours.

Ce genre de petit mot glissé sous la table était relativement courant de la part d'Andrew. Les deux garçons se connaissaient depuis un bon bout de temps maintenant, et Stefan savait pertinemment que son ami avait prévu quelque chose. Ils allaient encore passer un bon moment à se tordre de rire. Stefan répondit d’un simple signe de tête.
La sonnerie retentit après d’interminables minutes. Andrew prit aussitôt la fuite, sans même prendre le temps de se retourner. Il avait tout de même une attitude étrange. Il n’avait pas dit un mot pendant la dernière heure de cours, comme si ce qu’il devait annoncer à Stefan était d’une extrême importance. Le jeune homme sortit sur ses talons, le suivant de loin jusqu’au gymnase...

« Pourquoi tu fais cette tête? »
« Cherche pas à comprendre, ok McFire? Bon... Tu... Enfin je... Je voulais juste te dire... Enfin non juste... M’en veux pas... »

Sans qu’il ait eut le temps d’analyser la situation, Stefan avait déjà ses lèvres collées à celles d'Andrew. Etranges sensations. Mine de rien, c’était pas trop mal comme premier baiser. Le jeune homme ne savait pas trop quoi faire et se laissait simplement guider. C’était tout de même trop beau. Il devait certainement être en train de rêver et Lily allait bientôt débarquer avec un gros polochon pour le sortir de ses fantasmes nocturnes... Mais rien... Toujours rien. Alors quitte à ce que ce soit bientôt fini, Stefan ferma les yeux et posa ses mains sur le torse d'Andrew, imaginant la douceur et la chaleur de sa peau à travers son t-shirt. Et dans un souffle, Andrew recula soudainement, comme perturbé par quelque chose. Stefan s'avançât pour réitérer l’expérience mais il n’eut pas le temps...

« Eh les gars, c’est bon! C’est bon je l’ai fait! »

Stefan vit apparaître trois autres garçons derrière Andrew sans comprendre ce qu’il venait tout juste de se produire. Il fronçat les sourcils, cherchant une réponse quelque part autour de lui. Il essayait tant bien que mal de croiser le regard d'Andrew mais celui-ci ne faisait plus attention à lui. Il était trop occupé à serrer la main d’autres lycéens qui apparemment, d’après ce qu’il entendait, l’invitait généreusement à venir passer une soirée de dingues avec eux. Une fois qu’ils furent tous partis, Andrew se tourna vers Stefan, encore tout excité.

« Ce truc de fou! C’était juste un pari mais c’était plus facile que prévu... T’as bien joué le jeu toi, tu devrais faire du théâtre! », se tordait-il de rire.
« C’était un pari? Tu veux dire que... Que ça ne voulait rien dire? »
« Arrête McFire, je vais me faire dessus si tu me fais rire comme ça! Je te dis que c’était un pari, j'vais pas te bouffer... Du coup ils nous invitent à leur soirée, génial non? Tu viendras hein, tu me fais pas un sale coup? »
« J’sais pas. Je... Je dois garder ma soeur... Désolé... »

Il s’était fait avoir. Comme un bleu. Et pourtant, il n’arrivait même pas à être triste. Il admirait Andrew d’autant plus. Il avait réussi à l’avoir, à lui faire une triste blague, sans que Stefan ne se rende compte de rien... Il était tout de même sacrément doué. Et beau. Surtout les deux.

------------------------------
THE CRAWL

Ainsi devenu le bras droit d'Andrew, il le suivait dans toutes les soirées, et était prêt à tout pour revivre un tel moment. Il aurait fait n’importe quoi. Il aurait rampé à ses pieds. Il aurait bu tout ce qu’il lui aurait proposé, consommé n’importe quelle substance. Et naturellement, il ne se fit pas prié lorsque l’occasion se présenta enfin. Une seule soirée, et ce fut fait. Stefan McFire bascula du côté obscure et devint ce garçon un peu renfermé qui ne vivait plus qu’à travers Andrew. Il se droguait régulièrement, peut-être même trop. Au point qu’il devint rapidement accro sans vraiment s'en douter. Vint alors les fois où il n’attendait même plus d’être en soirée pour se procurer une dose, voire même deux ou trois. Après tout, depuis que son père n’était plus là, sa mère avait retrouvé du travail et pouvait lui verser un peu d’argent de poche tous les mois. Sans oublier qu’avec la fin du lycée, il avait les moyens de travailler durant l’été...
Il continuait de voir Andrew régulièrement jusqu’au jour où il décida de couper les ponts avec cette ordure qui commençait à le rendre complètement dingue. Andrew disparut à jamais. Le seul problème c’est que la poudre était toujours présente et s’accrochait fermement à ses narines sans qu’il puisse faire quoi que ce soit... Tant pis. Il vivrait avec.

------------------------------
ASHES TO ASHES

Stefan poursuivit ses études dans le supérieure, sans jamais vraiment trouver sa voie. Essayant tour à tour de faire carrière dans la littérature ou dans les langues étrangères, le jeune homme n’eut jamais de réel coup de coeur pour une filière au point d’essayer d’obtenir un diplôme. Il enchaina les petits boulots pendant de nombreuses années afin de gagner en indépendance et quitter le domicile familiale où il commençait à étouffer. Durant cette période très difficile, il alla chercher l’argent où il se trouvait, n’ayant parfois pas d’autres choix que de donner de sa personne. Il était l’employé d’une femme riche et eut beaucoup de mal à faire accepter sa démission. Avec l'aide de sa mère, il a ensuite reprit ses études pour tenter de devenir infirmier. Il obtint son diplôme en 2010 et commençât à exercer seulement quelques mois après à l'Hôpital Destin.


¤ Détails qui ont leur importance :
    ~ Il déteste le chocolat. N’essayez même pas de lui en proposer sous quelque forme que ce soit, il risquerait de vomir. Ce n’est pas tant l’aspect ni l’odeur, mais vraiment le goût qui le dégoute particulièrement. Ne vous avisez pas de vous ramener chez lui avec des chocolats, ce serait très mal vu...
    ~ Il laisse souvent pourrir les aliments dans son frigo parce que lui, les bouillons de culture et les gros champignons, il trouve ça cool... C’est surtout qu’il oublie souvent de s’alimenter. Il ne faut pas y voir une quelconque forme d’anorexie, il est comme ça. Il boit du café, il fume, et c’est déjà pas mal. Par conséquent, il a rarement de quoi faire dans son frigo, et c’est pour cette raison qu’il sort presque tous les soirs s’acheter un sandwich ou une bêtise dans le genre.
    ~ Il fait souvent des néologismes, parce qu’il trouve que c’est un certain signe d’intelligence. Et au moins c’est originale par rapport aux autres mots qui n’ont pas grand intérêt. Tout ça parce qu’il est sous l’influence des aliments périmés qui trainent dans son frigo...
    ~ Stefan est homosexuel. Il l’a toujours bien vécu, et même s’il ne passe pas son temps à le clamer haut et fort, il s’assume pleinement : oui, il aime les hommes. Peut-être même un peu trop ?
    ~ Il est toxicomane. Personne dans son entourage n’est au courant. Personne ne doit jamais l’être.
    ~ Stefan a deux cicatrices : une première sur l'épaule et l'autre sur le talon gauche. Ou comment avoir la bonne idée de marcher sur du verre et de croire qu'on est invincible. Au point de s'ouvrir l'épaule pour vérifier, oui.
    ~ Si le jeune homme devait avoir un complexe, ce serait certainement ses doigts de pieds. Il les a toujours trouvé biscornus, trop longs, trop fins... Bref, après trente ans de vie commune, il ne les supporte plus.

¤ Comment as-tu découvert le forum ? : bonne question. Je l'ai rêvé, et POUF !
¤ Code Secret ? : OK!
¤ Fréquence de connexion sur le net : la vraie question est de savoir quand je ne me connecte PAS.
Revenir en haut Aller en bas
https://white-city.frenchboard.com
 
# STEFAN J. MCFIRE
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» # STEFAN J. MCFIRE

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
White City :: # AU COMMENCEMENT... :: Les Présentations :: Archives-
Sauter vers: